La visite du président français en Ouzbékistan a été marquée par la signature de plusieurs contrats entre les grandes entreprises françaises et le pays d’Asie centrale. Orano, le groupe minier français, a annoncé avoir extrait ses premiers kilogrammes d’uranium du sous-sol ouzbek, symbolisant ainsi la volonté de renforcer la présence économique française dans la région. D’autres entreprises telles que EDF, TotalEnergies et Eiffage ont également signé des contrats lors du Forum des affaires organisé à Samarcande.
L’Ouzbékistan, qui cherche à attirer les investisseurs étrangers, a ouvert ses portes aux entreprises françaises. Orano, déjà présent au Kazakhstan, a signé un contrat pour l’extraction d’uranium dans le nord du pays. La France cherche ainsi à sécuriser ses approvisionnements en uranium, notamment depuis que le Niger n’est plus un fournisseur fiable.
La visite a également été l’occasion de signer des contrats dans le domaine des énergies renouvelables. EDF a conclu un accord pour la réalisation de deux projets hydroélectriques, tandis que TotalEnergies a signé un protocole d’accord pour l’extension d’une centrale photovoltaïque. Ces projets permettront d’améliorer l’accès à l’électricité pour des centaines de milliers de foyers ouzbeks.
Cette visite témoigne de la volonté de la France de soutenir la politique d’ouverture et de modernisation de l’Ouzbékistan. Le pays, autrefois isolé sur le plan économique, cherche désormais à attirer les investissements étrangers et à se développer. La présence du président Macron et des chefs d’entreprise français montre l’intérêt croissant pour cette nation d’Asie centrale, courtisée par la Turquie, l’Union européenne et la Chine.
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1 comment
C’est une excellente opportunité pour la France de développer de nouvelles relations économiques et de contribuer au développement de l’Ouzbékistan.