Les attaquants français travaillent-ils moins qu’avant ?
Une tendance grandissante
Lors de son passage dans l’émission “Rothen s’enflamme” sur RMC, Jean-Pierre Papin s’est penché sur la question de la diminution du travail spécifique des attaquants en France. Selon lui, les clubs français ont de plus en plus tendance à épargner aux attaquants les séances de rab.
Un manque de répétition
Pourtant, l’ancien buteur de l’OM rappelle que les attaquants ont besoin de répéter leurs gammes régulièrement, tout comme les gardiens. Sans ces séances spécifiques, ils risquent de perdre leurs repères. Jean-Pierre Papin témoigne de son expérience personnelle, où il s’entraînait quotidiennement pendant dix ans, frappant le ballon 200 fois en quarante minutes, sans se blesser.
Un plaisir plutôt qu’une corvée
Pour Jean-Pierre Papin, ces séances spécifiques étaient un plaisir et non une corvée. Il souligne l’importance de prendre du plaisir dans l’entraînement, afin de maintenir la motivation et l’engagement des attaquants.
Les conséquences de cette tendance
Cette diminution du travail spécifique des attaquants peut avoir des conséquences sur leur performance sur le terrain. Sans une répétition régulière des gestes techniques et des frappes au but, ils risquent de perdre en précision et en efficacité. Il est donc essentiel que les clubs français prennent en compte cette problématique et accordent une attention particulière à l’entraînement spécifique des attaquants.
Conclusion
Il est indéniable que les attaquants français travaillent de moins en moins spécifiquement. Cette tendance, soulignée par Jean-Pierre Papin, peut avoir des répercussions sur leur performance et leur efficacité sur le terrain. Il est donc primordial que les clubs français prennent conscience de l’importance de ces séances spécifiques et accordent aux attaquants le temps et les moyens nécessaires pour développer leurs compétences.
2 comments
Intéressant de connaître les raisons derrière ce déclin.
Je suis curieux de connaître l’avis de Jean-Pierre Papin sur la question.