D’une vision raréfiée de ce qui se cache derrière le succès des Indiens à l’étranger, il y a aujourd’hui les options énergétiques du monde et les changements dans la façon dont la banque centrale envisage son rôle.
Ajay Shah: Ajay Banga à la tête de la Banque mondiale nous fait repenser à ce qui est à l’œuvre. Il y avait tout un paquet culturel, du monde des livres et des idées, dans leurs années de formation en Inde, qui a jeté les bases pour s’adapter à leur nouvelle vie
Le gaz est-il nécessairement beaucoup plus préférable au charbon ? Sunita Narain a une réponse.
Tamal Bandyopadhyay: Auparavant, un dirigeant de la RBI chargé de superviser une banque aurait été couronné par son patron si la banque avait été forcée de prévoir une énorme pile de mauvais actifs qui avaient fait surface en raison d’un examen minutieux. Maintenant, le même cadre sort des bons livres de son patron pour avoir laissé les mauvais actifs s’accumuler sur sa montre.
Le mantra est le suivant : étouffez toute crise dans l’œuf.
Le premier montage dit qu’il n’y avait aucun cas pour que la Cour suprême intervienne et constitue un comité chargé d’examiner la question concernant le comportement des stocks d’Adani. La volatilité des marchés ne devrait pas préoccuper les tribunaux. Le deuxième modification revient sur la présidence indienne du G20 dans le contexte de la guerre en Ukraine.
