Des images ont émergé d’un conducteur furieux frappant un éco-manifestant après que des fanatiques se soient collés à la route aujourd’hui, provoquant des embouteillages dans le centre-ville de Hambourg.
Au début de la vidéo, on peut voir l’homme en colère traîner un autre homme sur la route alors que d’autres manifestants bloquent des voitures à un passage à niveau.
Il confronte une femme et la pousse d’une manière menaçante tout en lui criant dessus.
Un autre conducteur livide est alors aperçu en train de crier sur l’un des manifestants.
D’autres conducteurs tentent de calmer l’homme qui a été montré pour la première fois dans la vidéo alors qu’il continue d’exprimer sa colère.
La vidéo montre la file de manifestants assis sur la route portant des vestes haute visibilité avec des conducteurs frustrés regardant depuis leurs véhicules à l’arrêt
Après que l’homme en colère ait confronté l’un des photographes, un autre homme tente d’intervenir et ils se disputent
Les images montrent une file de manifestants assis sur la route portant des vestes haute visibilité, avec des conducteurs frustrés qui regardent depuis leurs véhicules à l’arrêt.
Ils tiennent des banderoles orange portant des slogans alors qu’un chauffeur vient leur crier dessus.
La vidéo montre que la manifestation a créé une accumulation de trafic.
À un autre moment de la manifestation, un conducteur est sorti de sa voiture et a commencé à tirer les manifestants hors de la route, a rapporté Bild.
Il a crié: ‘F *** off!’ Essayez de dégager la voie pour les voitures.
Dans les images, l’homme en colère et un autre homme traînent une manifestante de l’autre côté de la route jusqu’au trottoir. Ils jettent alors un homme à terre.
L’homme que l’on voit tout au long de la vidéo fait signe à une camionnette blanche de passer.
Après avoir confronté l’un des photographes, un autre homme tente d’intervenir et ils se disputent.
L’homme en colère arrache le chapeau de l’autre homme et le frappe au visage.
La police vient alors lui parler. Ils sont également vus escortant l’un des manifestants hors de la route.
Dans la vidéo, l’homme en colère arrache le chapeau de l’autre homme et le frappe au visage
On peut voir l’homme en colère traîner l’un des manifestants sur la route alors que d’autres manifestants bloquent des voitures à un passage à niveau
Il confronte une femme et la pousse de manière menaçante en lui criant dessus
L’homme en colère et un autre homme sont vus en train de traîner une manifestante de l’autre côté de la route jusqu’au trottoir
Près de trois heures plus tard, les responsables ont réussi à faire sortir le dernier militant climatique de la rue, selon Bild.
Des milliers de manifestants pour le climat se sont réunis aujourd’hui à Berlin et dans d’autres villes allemandes pour exiger une action gouvernementale plus sévère contre le réchauffement climatique, en particulier lorsqu’il s’agit de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur des transports.
Un petit parti favorable aux entreprises qui contrôle le ministère allemand des Transports, les démocrates libres, a repoussé les efforts visant à imposer une limite de vitesse générale, à supprimer progressivement les moteurs à combustion et à investir massivement dans les transports publics.
Le refus a frustré les plus grands partenaires de la coalition du parti – les sociaux-démocrates du chancelier Olaf Scholz et les écologistes verts – ainsi que les militants pour le climat qui disent que l’Allemagne manque ses propres objectifs d’émissions.
Interrogé sur les manifestations vendredi, un porte-parole de Scholz a déclaré que le gouvernement allemand prenait ses objectifs climatiques “très au sérieux”.
“Tous les ministères y travaillent dur”, a déclaré Wolfgang Buechner.
Les manifestations en Allemagne font partie d’une “grève climatique” mondiale appelée par le groupe Fridays for Future, qui s’est inspiré des manifestations de l’activiste suédoise Greta Thunberg devant le parlement de Stockholm.
Darya Sotoodeh, porte-parole du groupe, a accusé le ministre allemand des Transports de trop se concentrer sur l’industrie automobile du pays, au détriment de transports publics abordables.
L’année dernière, le gouvernement a accepté d’introduire un ticket de transport en commun à l’échelle nationale coûtant 49 euros (43 £) par mois, mais les compagnies de bus et de train affirment qu’il n’est pas durable sans subventions gouvernementales supplémentaires.
On voit la police escorter l’un des manifestants hors de la route
La police arrive et parle à l’homme en colère, qui semble expliquer la situation
Les syndicats des transports en commun, dont les membres se sont mis en grève dans certaines régions d’Allemagne vendredi pour exiger des salaires plus élevés, ont exprimé leur soutien à la manifestation climatique.
En octobre, neuf militants du groupe Scientist Rebellion ont fait irruption dans Autostadt, un musée et une salle d’exposition de voitures en face de l’usine principale de Volkswagen à Wolfsburg, dans le nord de l’Allemagne, et se sont collés au sol du pavillon Porsche.
Ils ont juré de poursuivre leur protestation jusqu’à ce que le constructeur automobile accepte de faire pression sur les ministres pour décarboniser l’industrie des transports.
En août, la police allemande a utilisé des matraques, du gaz poivré et des canons à eau contre un groupe d’éco-zélotes alors qu’ils organisaient une manifestation assise sur une importante ligne d’approvisionnement ferroviaire à Hambourg.
Des dizaines de manifestants, dirigés par l’éco-mob Ende Gelande – qui se traduit par «ici et pas plus loin» – ont tenté de perturber la grande ville du nord en bloquant le pont ferroviaire de Kattwyk, qui mène au port voisin.
Avant leur action, Extinction Rebellion, qui était également impliqué, a déclaré: “Nous bloquons ici une plaque tournante centrale du commerce extérieur allemand pour attirer l’attention sur les conséquences du colonialisme moderne”.
Le sit-down sur le pont faisait partie d’une série de blocages impliquant plus de 1 000 personnes à différents endroits, conçus pour « interrompre le trafic de marchandises » pour protester contre « l’expansion des infrastructures de combustibles fossiles et des chaînes d’approvisionnement coloniales ».
Le principal reproche des manifestants était une multitude de nouveaux terminaux GNL (gaz naturel liquéfié) destinés à “couvrir la côte allemande”.
